Carton vert à Michelin...

qui "met la gomme" sur le français

Désormais, chez Bibendum, les « network » ou « budgeting » sont interdits de séjour : on parle « réseau » et « plan de financement ». Les réunions et les courriels en anglais, on évite aussi.

Pour réussir ce pari le groupe a prévu un confortable budget pour former ses cadres étrangers à la langue de Molière.

Chez le numéro 2 mondial du pneu, la règle est inflexible : la langue de travail est –et restera – le français. Peu importe que ses usines soient implantées dans dix-huit pays et ses produits commercialisés sur toute la planète