Carton rouge à Gérard de Villiers ou à son « nègre »…

qui, dans « SOS Panique à Bamako », « se la joue » connaisseur d’une situation dont manifestement il connait peu de choses.

Résultat un cumul d’erreurs et de mensonges révélateurs soit de son ignorance soit de sa naïveté !

Quelques exemples :

la Cédéao (Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest) devient la CDAO, qui par ailleurs n’a jamais eu pour vocation de surveiller les rues de Bamako (page8)…

Le Burkina Faso devient Burkina Fasso ! (page 12)

Que dire de son hâtif raccourci de l’histoire d’un pays dont il ne sait même pas, écrire le nom, lorsqu’il « explique » la mort du prédécesseur (dictateur à la Chavez en plus sanguinaire) de Blaise Compaoré (page 78).